Le bateau « Race for Water » propulsé par des énergies renouvelables parcourt le monde pour sensibiliser la population à lutter contre la pollution du plastique dans les océans et promouvoir la transition énergétique. Découvrez en vidéo comment Plastic Omnium accompagne l’aventure de ce bateau grâce à ses piles à combustible qui transforment l’hydrogène en électricité. Rendez-vous sur notre stand au Mondial de l’Automobile pour découvrir ce film et la maquette du bateau Race For Water jusqu’au 14 octobre 2018.
L’odyssée Race for Water participe à la recherche de solutions pour éviter que les déchets plastiques qui constituent aujourd’hui 80 % des déchets marins, n’atteignent les océans. Il s’agit d’aider à valoriser les déchets plastiques en s’inspirant de l’entrepreneuriat social et de l’économie circulaire. La fondation Race for Water a ainsi imaginé le moyen de transformer en énergie les plastiques sauvages pour intéresser à leur collecte les populations affectées par cette pollution comme elles le sont déjà pour le ramassage de bien des matériaux, tels que l’aluminium, le papier, le carton ou le verre.
Plastic Omnium s’engage à préserver l’environnement
Symboliquement, elle sensibilise aussi la population mondiale à se projeter dans la transition énergétique grâce à son bateau révolutionnaire propulsé grâce à l’énergie solaire, au vent et à l’hydrogène. En effet les piles à combustible Plastic Omnium, grâce à la désalinisation de l’eau de mer, permettent de faire avancer le vaisseau avec un impact 0 sur l’environnement. Découvrez le procédé en regardant cette vidéo.
Race for Water au Mondial de l’Automobile 2018
Pour découvrir la maquette du bateau de l’odyssée Race for Water et revoir ce film, rendez-vous sur notre stand au Mondial de l’Automobile 2018 jusqu’au 14 octobre.
Suivez l’odyssée de la fondation Race for Water
Parti de Lorient en 2017, le bateau Race for Water reviendra à bon port en 2021 après une dernière escale à Tokyo en 2020. Suivez sur notre site les étapes phares et son périple sur le blog de l’expédition.
Crédits photo Peter Charaf